James O Barr est un artiste, musicien et écrivain américain né en 1950. Il est surtout connu pour son travail sur la bande dessinée The Crow, qui a été adaptée en film à succès en 1994.
C’est sublime au niveau de la voix, de la production. Un titre hors catégorie et tellement sa puissance émotionnelle nous entraîne et surpasse tout l’aspect technique. On ne peut pas passer à côté.
L’artiste Alice Torrent nous propose un titre avec un lyrisme fort. La composition, la voix, la production et l’univers visuel conjuguent parfaitement et nous emportent doucement vers un royaume d’onirisme.
Une ballade sucrée qui donne les frissons et laisse un petit goût de mélancolie. On se souvient d’un moment, d’une époque ou simple, on redécouvre l’envie d’espérer un peu. Formé par Jack Toop et Don Mike, Terns est un duo folk indépendant basé dans le sud de Londres. Ce duo nous offre des harmonies mélancoliques et avec malgré tout un peu d’espoir, celui de voir … Continuer de lire Terns-When All My Sundays Come
Seattle Rain fait penser à l’atmosphère de The Crow (1994, Alex Proyas), la noirceur des rues, les éclaircies qu’on attend toujours un peu trop. La ville est étouffante, un peu comme ce métro boulot dodo.
Chaque année en cette période nous allons au cinéma pour nous faire peur, en soirée nous regardons des vieux films et des séries orientées Halloween. Cette année le couvre feu change un peu nos plans et nous devons faire impasse sur de nombreux films en soirée.
Je propose un défi. Pendant le temps qu’il faut pour lire cette critique, oubliez qui est Roman Polanski. Mettez de côté tout ce que vous avez entendu sur lui – oubliez ses affaires judiciaires -, ignorez qu’il s’agit d’un fugitif programmé dans la sélection officielle des plus anciens festivals du monde. Continuer de lire « « J’accuse » oubliez Polanski »
La relativité, qui a du mal à reprendre pied, semble avoir un certain dynamisme et, selon TheWrap, The Crow ne sera pas encore mis en scène, annulation du tournage qui devait débuter en Janvier 2019
Relativity développe depuis des années une nouvelle approche de The Crow, qui a vu divers réalisateurs et acteurs attachés au projet. Maintenant, après avoir échappé à la faillite (dans une capacité que je ne comprendrai jamais pleinement), The Crow cherche à prendre son envol à nouveau.
Ce sera le premier article d’une longue série d’articles dans ce genre, à savoir qu’à l’époque où j’étais au lycée j’avais fait mon TPE sur l’adaptation du facteur sonne toujours deux fois au cinéma (donc 2 films et 1 nouvelle). Il faut savoir que toute ma promo avait du faire un TPE sur les adaptations car nous étudions cela en cours de Cinéma et de français. Un article donc avec des «Je» récurrents.
I1 y a des limites à l’héroïsme. Souvent, les franchir vous emmènera au royaume des anti-héros. D’un côté il y aurait donc le chevalier blanc, avec son sourire étincelant, de l’autre il y aurait les personnages cyniques, désabusés, la plupart du temps peu admirables. t puis il existe un autre endroit, un peu à la lisière de ces jeux catégories. C’est là qu’on trouve les « dark knights », es chevaliers d’ombres, le surnom officiel de Batman aux JSA. Des personnages au bord du gouffre, gui voient l’hé-« oïsme se conjuguer avec une certaine dose de désespoir. évidemment, si vous ne connaissez Batman que par l’entre-îiise de la série TV « wizz » des années 60, cette entrée în matière peut vous paraître bizarre. Pourtant, qu’on ne i’y trompe pas : Batman est un personnage noir, et pas seulement à cause de la couleur de sa cape. Dans l’héroïsme classique, à la Gary Grant, le héros sait qu’il aura la fille à la fin et que tout débouchera sur un happy end. Au royaume de Batman, cet optimisme bon teint n’a pas lieu d’être. Bruce Wayne paye le prix fort (la mort de ses parents) pour arriver à se dépasser et entamer une lutte qui ne peut avoir de fin. En tout cas pas heureuse. Il a déclaré la guerre au crime. Le problème c’est que des criminels il y en aura toujours pour prendre la relève alors qu’il y a un seul Batman. Le héros est tout entier dévoré par son idée de vengeance au point de perdre, d’une manière ou d’une autre, toutes les femmes qui auraient pu le mener vers le bonheur. Ou plutôt, c’est Bruce Wayne qui est dévoré, ne laissant derrière lui que Batman qui s’accroche à sa croisade comme étant sa seule raison de vivre Continuer de lire « Le Dark Knight ou le justicier de la nuit »
Homme de talent et de convictions, sa vie n’est pourtant pas toute rose. Ses personnages sont à l’images de ses tourments. Des personnages sombres, de vrais darkknights.
James O’Barr est un dessinateur américain né en 1960 à Détroit (Michigan). Il est le créateur du comic book The Crow qui a été adapté au cinéma et à la télévision.
Une vie de tourments
La vie de James O’Barr se caractérise par un destin singulier. Sa mère biologique a passé de nombreux séjours en prison mais également en hôpitaux psychiatriques si bien qu’elle n’a jamais pu déterminer avec certitude la date de naissance exacte de James O’Barr. Il est né entre Noël 1959 et le jour de l’an 1960, et l’état-civil lui a attribué le 1er janvier 1960 comme date de naissance officielle. Il passe les premières années de sa vie dans un orphelinat de Détroit, accompagné de son demi-frère. Continuer de lire « James O’Barr, l’Homme qui créa un phénomène »