Jordan nous offre un titre simple, un titre presque nu, une confession.
Le son d’une guitare sèche et une voix profonde qui vont à l’unisson sur le rythme d’une basse-batterie. Joel Peter nous a beaucoup rappelé le titre Toi tu dis que t’es bien sans moi de Damien Saez, pour sa mélancolie, pour son timbre et ses couleurs.
Une chose est certaine, ce titre bouleverse son auditeur, Jordan Macarus arrive à convaincre et à partager beaucoup en l’espace de quelques secondes.