Cette jeune chanteuse de Portland décrit sa musique comme de la Dream Pop triste. Nous pouvons vraiment croire qu’elle a surement inventer le nouveau genre, celui propice au spleen et à la contemplation.
«Cette chanson est une réflexion sur le fait de grandir et de devenir différent, de réconcilier mon passé et d’apprendre à changer.» Avec un des accords simples, une voix aérienne, elle parle, elle décrit ses réflexions et ses questions sur la vie. L’auditeur se retrouve dans une forme de contemplation et de spleen comme celui tant décrit et instauré par Baudelaire. Si l’idéal est très lointain, la course à l’émotionnelle que procurent les titres de Maria Dehart sont peut-être un peu un moyen de s’évader du quotidien stressant.