Ce soir entre deux lueurs de chandelles nous écoutons Fragile Creatures.
Alliant rock, grunge, pop et mélodies accrocheuses, Fragile Creatures produit des mélodies entêtantes. A la première écoute, nous avons entendu du Chris Isaak, un peu de Pearl Jam, mais aussi beaucoup d’autres artistes comme Bowie, Blur… Le titre est hors format, ne correspond pas aux critères radiophoniques et encore moins ceux du streaming qui conduisent à une réduction du format. En effet des études démontrent que progressivement nous sommes passés à une moyenne de de 3:30 à 2:30.
Le titre est l’histoire d’un fantôme, celui d’une relation de six longues années. L’auteur raconte qu’il s’est retrouvé un jour à Barcelone «Fête de la Prima Vera. Tandis que tous mes amis dormaient toute la journée pour une nouvelle nuit d’aventures, je me promenais dans la ville avec une insomnie éclairée, visitant des endroits que j’avais vus avec l’amour perdu que je cherchais encore. La première chanson que j’ai écrite a commencé avec un battement dans ma tête et des paroles dans un cahier, au lieu d’écrire avec une guitare. Deuxième extrait de notre album de bricolage Punk Yacht, début 2020.»
Fragile creatures nous rappellent ces premiers album de groupe comme Seether ou encore Nirvana, il y a une magie dedans, une émotion qu’on a peur de perdre au fil des album. Un peu comme The Calling et leur single Wherever You Will Go Phatom Limb nous hante après les premières écoutes.