Cosmopolis c’est un huis clos de sexe, de crime et argent


On a une voiture, un homme qui ne sort pas sauf pour manger au restaurant chinois et au grille japonais. Il sort parfois à l’Hotel pour baiser des filles de la rue, même si dès le début il le fait dans sa voiture avec une femme d’age mur. Cosmopolis c’est le crime, la déchéance d’un homme tout puissant qui cherche sans cesse le frison. Pour lui plus rien n’a de sens, ni la morale, ni la religion.

En opposition à sa médiocrité, on a des hommes robots, des femmes automates qui frôlent les émotions, les champs contre champs ne respectant pas la règle en vigueur provoquent une sorte de détachement entre les mots et l’image.

Robert P, reste lui-même, émotionnellement fort à certains passages torrides et son sur jeux sur d’autres scènes ne semble pas apporter grand chose. On note au passage la beauté troublante de Sarah Gadon qu’on avait découvert dans Dream house ou A dangerous method, qui se montre l’opposée du personnage du milliardaire.

 

 

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