
ASTRAKAN, l’univers tourmenté des familles d’accueil
Tourné en 16 mm dans le Morvan, le nouveau film de David Depesseville interpelle par son titre particulier. Un choix assumé et évoquant une matière. Tout comme dans son récit jouant sur l’ambiguïté, Astrakan peut faire penser à un pays qui n’existe pas. Ici, on suit les périples d’une famille d’accueil et du jeune Samuel tout fraîchement placé chez Clément et Marie. Un film dans lequel le spectateur trouvera dans cette noirceur abyssale un peu de poésie.
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