Quand Franck arrive à nous faire rire

Quand tout tourne au plus mal pour un ripou et que son commanditaire ne lui propose plus aucune autre solution que d’aller effectuer le plus gros casse de toute sa vie… Qui pouvait prédire que noyau de l’affaire ne serait qu’un imposteur ?

De son coté, Thomas Gardesse, VRP en système d’alarme, est arrêté pour un fait mineur et envoyé en prison pour 6 mois.

Afin de gagner le respect des détenus il se fait passer pour Le Marquis, un génie du casse dont personne ne connaît le visage.

De son coté notre ripou adoré, du nom de Quentin Tasseau le fait évader pour l’emmener à Manille afin qu’il participe à un casse dont le commanditaire a besoin des talents du Marquis…

Le vrai Marquis de sa cachette ne voit pas les choses du même œil, mais en profiter pour manipuler la police et interpole dans l’optique d’aller piquer à son tour le pactole. Mais qui croyait pris qui croyait prendre, la suite de l’histoire dans les salles.

Un film plaisant

Bien que je ne supporte absolument pas l’humour débile de Franck Dubosc, du fait qu’il prend un malin plaisir à se moquer éperdument de certaines personnes, j’ai cependant fermé les yeux sur mes préjugés et apprécié ce film qui ressemble beaucoup plus à des vannes misent bout à bout.

Richard Berry égale à lui-même, reste sombre et ne nous étonne pas plus, à croire que sa carrière est fait de rôle bateau où il campe le gros dur distingué avec de la jugeote là où il en faut. Le spectateur restera cependant clément face à ce duo assez original, l’un trop mystique et l’autre émotif maladif.