Cette visite en France est l’occasion pour les fans de découvrir davantage le travail de Takashi Morita et d’en apprendre plus sur sa passion pour les aventures d’Arsène Lupin.
Depuis trois nous essayons de soutenir au maximum cette initiative et cette année encore, nous allons vous accompagner à notre manière sur cet évènement !
Au cinéma cet été les petits sont les rois, et un héros d’une autre époque revient dans une version longue et cinématographique. Yakari partage des valeurs d’une autre époque qui sont plus que jamais d’actualité. Continuer de lire « YAKARI – La grande aventure, un héros moderne »
Vous connaissez le 48H00 BD?
Cette manifestation a lieu dans toutes les régions permet de faire quelque chose d’unique! C’est toute la chaîne du livre et plus de 1500 librairies qui participent à l’action en faveur de la Culture et du 9e art.
Cette année c’est l’artiste Mahmud Asrar qui signe l’affiche du Comic Con Paris, mettant à l’honneur les héroïnes des films emblématiques du groupe Marvel.
I1 y a des limites à l’héroïsme. Souvent, les franchir vous emmènera au royaume des anti-héros. D’un côté il y aurait donc le chevalier blanc, avec son sourire étincelant, de l’autre il y aurait les personnages cyniques, désabusés, la plupart du temps peu admirables. t puis il existe un autre endroit, un peu à la lisière de ces jeux catégories. C’est là qu’on trouve les « dark knights », es chevaliers d’ombres, le surnom officiel de Batman aux JSA. Des personnages au bord du gouffre, gui voient l’hé-« oïsme se conjuguer avec une certaine dose de désespoir. évidemment, si vous ne connaissez Batman que par l’entre-îiise de la série TV « wizz » des années 60, cette entrée în matière peut vous paraître bizarre. Pourtant, qu’on ne i’y trompe pas : Batman est un personnage noir, et pas seulement à cause de la couleur de sa cape. Dans l’héroïsme classique, à la Gary Grant, le héros sait qu’il aura la fille à la fin et que tout débouchera sur un happy end. Au royaume de Batman, cet optimisme bon teint n’a pas lieu d’être. Bruce Wayne paye le prix fort (la mort de ses parents) pour arriver à se dépasser et entamer une lutte qui ne peut avoir de fin. En tout cas pas heureuse. Il a déclaré la guerre au crime. Le problème c’est que des criminels il y en aura toujours pour prendre la relève alors qu’il y a un seul Batman. Le héros est tout entier dévoré par son idée de vengeance au point de perdre, d’une manière ou d’une autre, toutes les femmes qui auraient pu le mener vers le bonheur. Ou plutôt, c’est Bruce Wayne qui est dévoré, ne laissant derrière lui que Batman qui s’accroche à sa croisade comme étant sa seule raison de vivre Continuer de lire « Le Dark Knight ou le justicier de la nuit »
C’est tellement rare que je m’achète un comics, je pense que c’est juste par période, je vais m’en acheter 3-4. Le seul que je collectionne vraiment c’est THE CROW, et ça quelque soit l’édition. Après il y a mes vieux Spiderman, édition semic de 94. C’était tellement bon, leurs graphismes étaient à pleurer. En parlant de graphisme, je ne sais pas si vous aviez déjà remarqué que la pochette de l’album est souvent meilleure au niveau graphique que l’intérieur, où en générale ils sont vraiment bâclés ; seules les pleines pages valent quelque chose. C’est un peu pour cela que je ne lis pas beaucoup de comics, et que je reste très mangavor. Mais le problème c’est qu’après avoir découvert les graphiques de l’équipe de Tōru Fujisawa, je suis devenu un peu déçu de ce qui se faisait à coté. Continuer de lire « Wedding of superman »