En écoutant Onyda nous avons l’impression d’écouter Garbage et Chris Isaak. Un mélange étrange qui surprend, mais qui a cette candeur-désabusée.
Pourquoi ? Candeur-désabusée ? On a cette fragilité qui côtoie ce réalisme, ces moments où vous devez rester maitre de vos émotions alors que tout s’écroule autour de vous. Un peu comme un chien qui garde toujours espoir, qui continue de faire comme si, alors qu’il n’y a plus rien de bon. L’artiste avoue également que ce titre faire référence à la déclaration d’Ai Stewart « C’est l’année du chat »
Cette chanson née dans la nature urbaine de la ville natale de l’artiste, Stoke. Le titre est très visuel, très empirique et laisse un souvenir particulier après sa première écoute.