Originaire d’un peu à l’extérieur de Sydney, en Australie, Evie Irie a émergé tranquillement comme une sorte de prodige de la soul-pop alternative à seulement 16 ans. Saisissant une guitare au hasard, elle a écrit des titres pop, qu’elle a entièrement réalisé.
Sa musique parle de son quotidien, de ses amis, de ses expériences… Avec le soutien de sa famille, elle a déménagé à Nashville et a attiré l’attention des meilleurs auteurs-compositeurs du pays. Maintenant elle est libre!
Evie a dit: «Worst enemy concerne nos démons intérieurs. Il s’agit d’admettre les moments où nous nous sabotons et les choses brutales que nous nous endurons. Il s’agit de se sentir comme si parfois vous êtes si perdu, que vous pensez réellement que vous êtes retrouvé. C’est une réalité vraiment difficile quand je réalise que je suis à cet endroit – submergé par la lutte de tous mes démons intérieurs. L’auto-sabotage, le souci constant d’être meilleur et d’être assez bon. C’est un cycle sans fin et inévitable, que je pense que nous vivons tous à un moment de notre vie, d’une manière ou d’une autre. »
Dans la musique, elle avoue chanter pour elle, pour ceux qui sont comme elle, à vivre des journées noires, puis à se demander pourquoi on se sabote sans cesse. Ce sont ces choses stupides que l’on fait au quotidien, ces choses qui font qu’on a besoin sans cesse d’être mieux, plus fort.