On ne présente plus The Sweet Kill, que nous avons déjà chroniqué par le passé. Il nous propose un autre titre Suicide  un peu plus personnel avec une ambiance un peu plus calme et moins dans la dénonciation de complots ou d’injustice, enfin si, celle d’avoir perdu un ami.

Il y a un petit côté PLACEBO dans ce titre, un petit côté année 2000 qui reste et qui colle à l’instrumentation et aux arrangements. Le titre est bon, il transcende par ses mots. Il parle de la mort d’un ancien membre du groupe de Pete.

«Cette chanson est mon hommage à mon ancien compagnon de groupe qui s’est suicidé. Cette chanson exprime mon regret dans mon impuissance face à ses afflictions et de ne pouvoir intervenir. Nous avons eu un mariage sans sexe et l’intimité d’être dans un groupe, créant des chansons qui procuraient plusieurs niveaux d’investissement et des offres de maisons de disques. Nous avons professé notre amour l’un pour l’autre, mais je me suis toujours abstenu de consommer la relation dans l’espoir qu’un jour, après avoir savouré le succès de notre travail acharné, nous serions en mesure d’embrasser nos attractions mutuelles. Après cette tragédie, après être devenu sobre, j’ai déménagé à LA pour réaliser tous les plans et rêves que nous partagions ensemble. The Sweet Kill et cette chanson sont quelques-unes des façons dont je garde son esprit vivant et avec moi dans tout ce que je fais.» Nous explique Pete Mills, chanteurs-auteurs-multi instrumentiste.

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