Jenny Kern des mélodies lentes et cinématograhiques


Souvent en écoutant un titre, on pense qu’il va être synchronisable, pourtant l’art du cinéma, l’art de la musique à l’image sont deux arts difficiles et complémentaires. L’un vit sans l’autre et l’autre vit en complément de l’autre. La musique se suffit à elle même, mais peut gagner en puissance avec de belles images, tandis que l’image peut être renforcée par la musique. Pourtant un silence est parfois dérangeant, plusieurs centaines de scènes de séries ou de films l’attestent, le silence peut être fracassant pour un spectateur sous le choc d’une annonce ou prisonnier d’un suspens insoutenable.

Avec  Old Friend Jenny Kern promène l’auditeur dans une atmosphère propice aux sens créé par des guitares planantes, une voix entre l’écho et le lointain. Nous attendons calmement dans un fauteuil qu’apparaisse au coin d’une rue Tom Ellis dans le rôle de Lucifer ou de voir apparaitre Edward Cullen des bois de la ville de Forks.


Qui est Jenny Kern?

Jenny se fait remarquer avec un premier single Slow Burn, qui va séduire les États-Unis et le Canada. Originaire du pays de l’érable et de la poutine, elle part vivre à New York afin d’exercer sa passion.

Elle va rapidement séduire la scène locale par sa voix magnétique et sa personnalité. Dans ses autres titre il y a comme un effet de catharsis baignant dans une mélancolique et le lyrisme envoutant. Selon A & R Factory ce titre laisse une inspiration et une sensation qui prendra du temps à disparaitre.

Avant de venir à New York Jenny a joué sur plusieurs scène, comme celle de Montréal durant ses études, puis à New York elle travaille dans le monde du cinéma et de la télévision en tant que productrice.

Dans ses titres comme Old Friend, il y a un ton solennel, proche de la confession où nous sommes au plus proche de nos émotions, nous nous livrons sincèrement tel que nous sommes. N’est-ce pas cela le pouvoir d’un vieil ami?

Lorsqu’elle par de sa musique, Jenny dit « C’est presque cathartique, partager des émotions. Être ouvert n’est un exploit pour personne. Je veux que les gens sachent que ces chansons viennent d’un endroit honnête. Nous luttons tous pour nous réconforter tout en étant ouverts à l’imprévu.« 

Jenny Kern

En 2018 lorsque les feuilles tombent, elle enregistre un premier EP et se produit dans plusieurs lieux populaires de New York comme le Rockwood Music Hall et The Bitter End. On sent dans ses titres une introspection profonde, qui exprime beaucoup de regret et d’espoir. L’espoir nous l’espérons car, pourquoi chercher en nous lorsque cela va mal? Si ce n’est que pour trouver une réponse, une solution à nos problèmes.


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