Bon. Dans un premier temps, il est bon de remettre les choses à leur place.
Etant moi-même possésseur d’une « 4woods » (reproduction d’une femme nippone « trentenaire » en silicone), ayant une vie sociale, un emploi stable, une vie amoureuse, un casier judiciaire vierge, passionné et connaisseur des poupées en silicone depuis plus de 10 ans, je pense pouvoir apporter un peu de lumière aux journaleux et leurs nombreux articles, qui, par ignorance et désir de diabolisation du sujet, racontent de tout mais surtout n’importe quoi.
Primo, les poupées « Trottla » (deuxième photo de l’article. A ne pas confondre avec la première représentant les poupées « Orient-Industry ») sont des créations d’artistes, des passionés du moulage silicone. Secundo, pour parler crûment, les poupées « Trottla » n’ont pas d’orifices. Qu’il soit bucal, vaginal ou anal… Il suffit de consulter le site fabricant où l’on peut lire noir sur blanc que leurs créations ne sont ni des sex-toys, ni des « poupées sexuelles pour pédophiles ». Tertio, ces oeuvres d’art sont d’une extrême fragilité, constituées d’un squelette recouvert d’une enveloppe de silicone, elles ne sont pas malléables à souhait et sous les assauts d’un détraqué, elles ne feraient pas long feu…
Il est également impossible, même moyennant supplément, de demander à « Trottla » d’en faire un sex-toy, ils s’y refusent catégoriquement. Sachant qu’en moyenne, ces poupées avoisinnent les 5000 euros hors frais de port, je vois mal un prédateur investir une somme pareille, bricoler un « orifice » avec les risques que cela comporte puisque l’on parle ici d’une silicone excessivement fragile et non pas de caoutchouc ou de PVC. Et, sachant surtout que pris d’obsédantes pulsions, celui-ci préférera faire la sortie des écoles ou s’en prendre aux enfants de son cercle familial ou social. C’est bien moins coûteux, plus tentant et bien plus assouvissant.
Il faut également savoir qu’importer du Japon des poupées de ce type ne passe pas comme une lettre à la poste et peut comporter des risques au passage en douane ainsi que laisser place à certaines interrogations suite à un contôle du colis.
Orient-Industry, par contre, produit, entre autres, des sex-dolls à l’effigie de l’enfant. Orient-Industry, n’exporte pas en occident.
Maintenant de savoir si le monde est au plus mal suite à ce type de production ou du conflit au moyen orient, des catastrophes nucléaires ou de l’armement, la question ne se pose même pas. La poupée sexuelle est aussi vieille que l’homme lui même. En occident, qu’elle soit à l’éffigie d’une femme ou d’un enfant, la poupée sexuelle est, et restera, une pratique marginale dans une société ou le conformisme est de rigueur.
Sans prétendre au Freudisme, il y a pour moi deux types de pédophiles : Celui qui manifeste une attirance pour l’enfant et s’alimente de manière indirecte, que ce soit sur internet ou avec une poupée Orient-Industry et qui, pour plusieures raisons, se satisfait de ce palliatif.
Puis il y a celui qui, avide de contact charnel, ne peut se satisfaire que de concret par le biais du traquenard sur internet, de l’inceste ou du tourisme sexuel…
Tout comme le cannabis n’amène pas forcément à l’héroïne, les dolls dites « mineures » ou « majeures » n’amène pas forcément à la pédophilie ou au viol.
Ayons un oeil plus attentif sur l’industrie pornographique et sa libre circulation qui conduit à une certaine déliquescence des rapports hommes-femmes et à laquelle, aujourd’hui, nos enfants accèdent aisément et m’effraie bien plus que le détraqué isolé qui s’excite sur des poupées.
Merci pour l’information =).
Après oui, l’histoire des pulsions est quelque chose de très fort.
A savoir quand l’individu va sombrer dans une forme de vie pulsionnelle où les interdits et les tabous n’ont plus de limite et quand la vie psychique dévore la vie empirique.
Scandaleux!!!
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On va se calmer déjà, les poupées ont vraisemblablement des boobs donc au mieux c’est des poupées d’adolescentes.
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Oo ok mais ça change quoi ce sont des ado quand même
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à saagt :
des boobs tu dit ? et au pire c’est quoi ?? va voir ceci : http://lesmoutonsenrages.fr/2012/12/08/japon-des-poupees-sexuelles-denfants-pour-les-pedophiles/
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Bon. Dans un premier temps, il est bon de remettre les choses à leur place.
Etant moi-même possésseur d’une « 4woods » (reproduction d’une femme nippone « trentenaire » en silicone), ayant une vie sociale, un emploi stable, une vie amoureuse, un casier judiciaire vierge, passionné et connaisseur des poupées en silicone depuis plus de 10 ans, je pense pouvoir apporter un peu de lumière aux journaleux et leurs nombreux articles, qui, par ignorance et désir de diabolisation du sujet, racontent de tout mais surtout n’importe quoi.
Primo, les poupées « Trottla » (deuxième photo de l’article. A ne pas confondre avec la première représentant les poupées « Orient-Industry ») sont des créations d’artistes, des passionés du moulage silicone. Secundo, pour parler crûment, les poupées « Trottla » n’ont pas d’orifices. Qu’il soit bucal, vaginal ou anal… Il suffit de consulter le site fabricant où l’on peut lire noir sur blanc que leurs créations ne sont ni des sex-toys, ni des « poupées sexuelles pour pédophiles ». Tertio, ces oeuvres d’art sont d’une extrême fragilité, constituées d’un squelette recouvert d’une enveloppe de silicone, elles ne sont pas malléables à souhait et sous les assauts d’un détraqué, elles ne feraient pas long feu…
Il est également impossible, même moyennant supplément, de demander à « Trottla » d’en faire un sex-toy, ils s’y refusent catégoriquement. Sachant qu’en moyenne, ces poupées avoisinnent les 5000 euros hors frais de port, je vois mal un prédateur investir une somme pareille, bricoler un « orifice » avec les risques que cela comporte puisque l’on parle ici d’une silicone excessivement fragile et non pas de caoutchouc ou de PVC. Et, sachant surtout que pris d’obsédantes pulsions, celui-ci préférera faire la sortie des écoles ou s’en prendre aux enfants de son cercle familial ou social. C’est bien moins coûteux, plus tentant et bien plus assouvissant.
Il faut également savoir qu’importer du Japon des poupées de ce type ne passe pas comme une lettre à la poste et peut comporter des risques au passage en douane ainsi que laisser place à certaines interrogations suite à un contôle du colis.
Orient-Industry, par contre, produit, entre autres, des sex-dolls à l’effigie de l’enfant. Orient-Industry, n’exporte pas en occident.
Maintenant de savoir si le monde est au plus mal suite à ce type de production ou du conflit au moyen orient, des catastrophes nucléaires ou de l’armement, la question ne se pose même pas. La poupée sexuelle est aussi vieille que l’homme lui même. En occident, qu’elle soit à l’éffigie d’une femme ou d’un enfant, la poupée sexuelle est, et restera, une pratique marginale dans une société ou le conformisme est de rigueur.
Sans prétendre au Freudisme, il y a pour moi deux types de pédophiles : Celui qui manifeste une attirance pour l’enfant et s’alimente de manière indirecte, que ce soit sur internet ou avec une poupée Orient-Industry et qui, pour plusieures raisons, se satisfait de ce palliatif.
Puis il y a celui qui, avide de contact charnel, ne peut se satisfaire que de concret par le biais du traquenard sur internet, de l’inceste ou du tourisme sexuel…
Tout comme le cannabis n’amène pas forcément à l’héroïne, les dolls dites « mineures » ou « majeures » n’amène pas forcément à la pédophilie ou au viol.
Ayons un oeil plus attentif sur l’industrie pornographique et sa libre circulation qui conduit à une certaine déliquescence des rapports hommes-femmes et à laquelle, aujourd’hui, nos enfants accèdent aisément et m’effraie bien plus que le détraqué isolé qui s’excite sur des poupées.
Cordialement.
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Merci pour l’information =).
Après oui, l’histoire des pulsions est quelque chose de très fort.
A savoir quand l’individu va sombrer dans une forme de vie pulsionnelle où les interdits et les tabous n’ont plus de limite et quand la vie psychique dévore la vie empirique.
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