On a aimé chez Caleb Joseph les choses suivantes : l’ambiance sombre qui rappelle un peu le premier album du groupe Pagoda. Un univers à mis chemin entre Damien Rice et celui de nombreux groupes originaires de Seattle.
Caleb aime l’exploration des sens, le retour à cette sensation primitive. Ici dans le clip il y a un côté pure et malade qui cohabite et font qu’on ne sait plus trop sur quel pied danser.
Certains parleront d’un héritage du Romantisme à la Baudelaire, d’autres parleront d’un héritage rock. Et vous?