Ce clip s’inspire de l’esthétique des films du Golden Age et présente une danse performative, sur le toit d’un immeuble ensoleillé, représentant le soulagement que le protagoniste ressent lorsqu’il quitte enfin son corps duquel il se sentait prisonnier.
Gus Englehorn, un auteur-compositeur-interprète alaskain qui habite maintenant au Québec. Sa musique est le reflet d’un rock d’autre fois, un rock qui colle encore parfaitement à l’actualité et également au passé.
Un passé noble, un passé composé des films de Jean Cocteau, des livres de Shirley Jackson.
Le sujet corps prison est parfois récurrent et rappelle l’imagerie de nombreux films comme Erazer head ou encore l’imagerie surréaliste très inspiré des maux silencieux de son jeune frère autiste. Ses histoires sont ensuite mises à travers un filtre indie rock.
Extrait du premier album Death & Transfiguration
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