Les paroles de Margot White plongent l’auditeur dans un autre monde, composé d’un art du discours à partir de l’art conversationnel de Vashti Bunyan et Joni Mitchell, mélangé à une pincée d’images démoniaques de Rimbaud, et même un peu de la conscience sociale de Yevtushenko.
L’atmosphère est temporelle, ironique ou fantastique d’inspiration et d’imagination, les paroles et les mélodies de Mme White scintillent avec le tempérament d’un poète inspiré dans le contexte des rythmes modernes et mélodies de guitare de chambre à coucher. Nous suivons comme Alice suit le lapin dans un monde étrange qui n’a pas besoin de superficialité, pourtant dans Face to face le côté délicat du guitare voix est effacé pour une surproduction et une atmosphère entre fantastique et ésotérisme. L’image rétro et le look année 70 dansent dans une esthétique croisée, un peu comme le film d’Alice au merveille de Tim Burton.
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