Après 26 ans de thérapie, le psy d’Oury meurt brutalement. Depuis, il entreprend la reconstruction du scénario de sa vie et se pose des questions sur le sens de la famille et des liens entre chacun des membres qui la compose.
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Un film qui se déploie lentement dans sa longueur. On souligne la performance de chacun des acteurs, nous avons particulièrement été séduits par l’acteur Antoine Reinartz dans le rôle de l’avocat général, ainsi que par le jeune acteur Milo Machado Graner.
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C’est court et intense. On a tout dans une durée très courte, ce qui condense au maximum la tension entre les personnages.
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Dans ce film, le réalisateur Wim Wenders arrive à capter la magie cachée dans les subtilités du quotidien. On suit le programme réglé à la minute même de Hirayama vivant à Tokyo et exerçant le métier d’agent d’entretien des toilettes publiques de sa ville.
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Le film oscille entre pastiche d’une époque et dépression. Vers un avenir radieux semble être un avenir pessimiste !
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Faire un film sur l’un des papes les plus sombres de l’église Romaine est quelque chose d’audacieux. Le casting est bien trouvé et la photographie excellente. Le film propose une critique de la religion catholique sans pour autant aller dans l’excès. Même si, ce qui est montré peut choquer le spectateur, le réalisateur Marco Bellocchio arrive à mettre en place un rythme dans son récit pour passer d’une séquence lourde à une séquence plus légère.
Les feuilles mortes est une belle comédie avec un humour touchant. Ces personnages ouvriers en galère se contentent de ce qu’ils trouvent, mais parfois la vie apporte beaucoup plus qu’on ne pense.
On a été sensible à cette narration où ces personnages attendent et espèrent. La question de l’alcoolisme est posée, elle décrit le cercle vicieux où nous sommes malheureux de boire, mais on continue, car nous sommes dépendants physiquement de l’alcool.
Un film touchant nous plongeant dans la descente aux enfers d’une femme sous l’emprise d’un pervers narcissique. La réalisatrice développe une longue métaphore filée du double, comme pour souligner le quotidien aliénant d’une victime face à un individu double : tantôt doux et parfait en public, mais violent dans l’intimité.
On saluera la prestation de Virginie Efira, mais également MELVIL POUPAUD qui incarne un être sombre, manipulateur et malade.
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