Cela fait plusieurs mois que nous sommes sous le charme étrange de ce single. Avec un refrain qui fait beaucoup penser à Beaux du générique L’école de la vie de Clara Luciani, cette chanson s’inscrit dans l’immédiateté par ce sentiment étrange et familier.

Avec un vibrato qui rappelle un peu l’univers de Véronique Sanson, un peu de Juliette Armanet…. Ou encore la douceur de Marion Elgé se demandant quand démarreraient la vie et ces moments de douceur et d’amour, de simplicité.

Un texte qui prend bien par ce PopCorn (salé) symbole d’un moment de complicité et d’unicité.

On a tous ce code bien à nous, celui qui montre qu’on a un univers partagé avec quelqu’un, celui qui n’a de magie que par ce partage unique. Un peu comme dans Je vais bien, t’en fais pas où on dit « on ira voir la mer », ici, on veut aller au loin comme le chantait Louise Attaque, pour aller au gré du vent.

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