« La Finale, » réalisé par Robin Sykes et mettant en vedette Rayane Bensetti et Thierry Lhermitte, dépeint une histoire touchante centrée sur la découverte des liens familiaux à travers une passion commune pour le basket.

Le film raconte l’histoire de JB, qui, au début, considère son grand-père Roland, atteint de la maladie d’Alzheimer, comme envahissant et perturbant sa vie. Cependant, lorsque la santé de Roland décline et qu’il se retrouve seul avec lui, JB décide de l’emmener à une finale de basket-ball à Paris, pour ne pas rater cet événement crucial pour sa carrière en équipe junior.

Ce roadtrip inattendu devient un catalyseur de transformation pour leur relation. Malgré les défis posés par les absences de mémoire de Roland et son caractère difficile, une complicité naît, offrant à JB l’opportunité de découvrir son grand-père sous un nouveau jour, bien au-delà de sa maladie.

Dans « La Finale, » le spectateur est plongé dans l’histoire d’une famille confrontée à la maladie d’Alzheimer et aux difficultés de la vie quotidienne qu’elle engendre. Roland, incarné par Thierry Lhermitte, est contraint d’arrêter de travailler et de vendre son restaurant en raison de sa condition. Sa fille envisage de le placer dans une maison de retraite, ce qui bouleverse la dynamique familiale. Cette maladie neurodégénérative se manifeste par une Présence et absence en même temps, cet homme n’a pas conscience et durant des phases de lucidité se rend compte qu’il n’est plus lui-même.

C’est dans ce contexte que JB, interprété par Rayane Bensetti, se trouve face à son grand-père. L’histoire révèle comment ce voyage inattendu à la finale de basket-ball, malgré les défis liés à la maladie d’Alzheimer, permet à JB de se rapprocher de son grand-père et de renforcer leur lien familial, donnant naissance à une belle complicité entre les deux générations.

Ce film est un récit émouvant qui explore la découverte des liens intergénérationnels à travers la passion partagée pour le basket. Mais aussi rappelle l’importance de la communication avec les aînés qui est d’une importance cruciale, car elle offre une opportunité précieuse de mieux les comprendre, de maintenir des liens affectifs ou même de rétablir des connexions perdues. Cela devient d’autant plus essentiel dans les cas de maladies neurodégénératives, où la communication peut devenir complexe en raison de la perte de mémoire et des altérations cognitives. Cependant, il est impératif d’apprendre la patience et de cultiver la bienveillance. Ces qualités permettent de créer un espace de dialogue où les aînés se sentent écoutés, respectés et compris malgré leurs difficultés. En faisant preuve de compréhension et d’attention, il est possible de reconstruire des ponts émotionnels et de maintenir des liens chaleureux, aidant ainsi les aînés à se sentir valorisés et intégrés dans la sphère familiale et sociale, même dans les moments les plus complexes de leur vie.