Jeremy Voltz nous livre un single intense qui rappelle un peu la production de certains groupes comme Kaleo ou Imagine Dragons.
Une production soignée avec une mélodie adaptée à la génération musique de pub et synchro télévisée. À vrai dire, ce nouveau format musical est limite devenu le formatage salutaire pour les groupes et artistes voulant éclore à l’international. Il faut trouver comment attirer le public et la télévision, la musique à l’image est souvent la clé !
Longtemps décriée, maintenant avec le live, elles sont devenues les principales sources de revenu. Mais faire uniquement une production sans chercher à raconter une histoire est périlleux et généralement ne permettra pas de trouver le public. Jeremy le sait et avec son comparse d’écriture Oliver Charles, ils proposent une atmosphère traduisant à perfection les émotions du texte, passant d’une effusion brute de désespoir à un état de vulnérabilité.