Cela expliquerait sans doute l’universalité du peintre. Et si Leonard de Vinci était le fils d’une migrante ? C’est ce qui est attesté dans le livre Il sorriso di Caterina. La madre di Leonardo

Le peintre était en effet d’origine italienne par son père, Ser Piero da Vinci, mais sa mère, Caterina, était probablement d’origine orientale ou levantine. Certains historiens pensent qu’elle était une esclave ou une concubine d’origine arabe ou turque, mais cela n’est pas certain.
De plus, il a passé une grande partie de sa vie en dehors de l’Italie, travaillant pour les cours royales de France et pour les Médicis à Florence. Il a également été influencé par la culture et les traditions de ces pays, ainsi que par les mouvements artistiques de son époque, ce qui a contribué à façonner son travail et sa vision du monde.
En résumé, on peut dire que Leonard de Vinci est considéré comme « à moitié italien » en raison de son héritage mixte et de son influence artistique et culturelle au-delà de ses racines italiennes.