Depuis Radiohead je n’avais jamais entendu une telle émotion sur une production légère. Vous savez cette émotion étrange et fragile, qui vous bouleverse pour un rien.
Un peu comme dans Creep le titre possède une évolution sur plusieurs paliers. On arrive peu à peu à une cascade émotionnelle.
Si nous étions sur un titre rock, nous aurions vers la toute fin une explosion comme sur My Immortal (version band) ou encore sur le fameux passage où elle part encore et encore.
Ce qui nous rend un peu triste, c’est cette absence d’explosion, nous sommes dans une belle ritournelle, mais il manque ce moment où l’émotion explose. Il en faut pour tous goûts, mais cette fois-ci, nous restons sur notre faim !
Pour découvrir un peu plus sur JOLENE : hemispheres.land