En écoutant Deborah nous avons eu l’impression de redécouvrir des classiques Jazz ou des titres qui accompagnaient les films muets. Il y a une légèreté et une sensation réconfortante.
Deborah parle de ce titre comme étant une oeuvre fantaisiste avec une touche de nostalgie. Cela ressemble un peu aux contes de fées et histoire pour enfants.
La musique et son orchestration sont elles un hommage à Jon Brion, un musicien et compositeur américain qui a commencé sa carrière dans les années 80.
In the Hallways est surement notre coup de coeur. Il a un petit côté Musical, qui ressemble à certaines ballades de Frank Wildhorn. Il y a cette grande partie instrumentale qui est très intéressante, elle est comme une évasion, une échappatoire pour l’imagination.
Deborah admet qu’il y a un mélange de genre dans ce titre, c’est surement cela qui donne ce côté indie song, mais aussi un aspect théâtrale un peu vaudeville. Le petit côté évasion est en référence à Freud ou Milton qui conceptualisaient notre esprit comme un lieu où on pouvait aller piocher, chercher des choses. L’artiste a beaucoup aimé ce jeu de mots, ces différentes nuances entre les genres.