Pour Halloween découvrez des légendes venant de la forêt de Sénart

La forêt de Sénart, bien que moins célèbre pour ses légendes que celle de Fontainebleau, abrite malgré tout des récits mystérieux qui ont nourri l’imaginaire collectif au fil des siècles. Voici les histoires principales qui lui sont associées :

Continuer de lire « Pour Halloween découvrez des légendes venant de la forêt de Sénart »

Découvrez la Maison de Nadar à Draveil et autres contemporains

À la fin du XIXe siècle et au début du XXe, Champrosay, un hameau pittoresque de la commune de Draveil, était un lieu de réunion prisé pour de nombreux artistes. Photographe, peintres, romanciers et auteurs y trouvaient un cadre idyllique propice à la création. Ce havre de paix, niché entre la forêt de Sénart et les rives de la Seine, attirait des figures aussi illustres que Charles Baudelaire, Marie Laurencin et Alphonse Daudet, l’auteur des Lettres de mon moulin. La proximité avec la gare de Ris-Orangis, inaugurée en 1843, facilitait l’accès à Paris, tout en offrant une retraite paisible loin de l’agitation urbaine.

Continuer de lire « Découvrez la Maison de Nadar à Draveil et autres contemporains »

champrosay sa petite chap est de retour

Champrosay et vous ? Sur le haut de Champrosay siège cette petite chapelle, symbole d’un autre temps pour les artistes contemporain de Daudet. Alphonse Daudet estimait que la campagne procurait une indispensable liberté artistique vis-à-vis des journaux, des théâtres… Cette maison lui paraissait suffisamment loin de Paris pour être un lieu culturel actif. Il y recevait de nombreux artistes, journalistes : Champrosay était bien reliée … Continuer de lire champrosay sa petite chap est de retour

Alphonse Daudet

Alphonse Daudet fut plus parisien et « francilien » que provençal…

1867. Il est arrivé à Paris dix ans plus tôt. Il a vingt-sept ans et sort de deux années de vie de bohème-phalanstère avec quelques amis écrivains à Clamart.

Là, avec Paul Arène, il a commencé à écrire les Lettres de mon moulin. Il vient de se marier. L’Essonne, terre de sa belle famille, sera juqu’à sa mort en 1897, beaucoup plus que la Provence, son lieu de prédilection pour échapper à la trépidante vie parisienne.
Le grand-père de Julia, sa femme, aurait bien légué à ses descendants son château de Vigneux-sur-Seine (entre Athis-Mons et Montgeron), mais nul d’entre eux ne peut envisager d’entretenir une telle propriété. Le château est mis en vente. Cela laisse le temps à Alphonse et sa belle famille, les Allard, d’y passer l’été 1867, pendant lequel l’écrivain achève Le petit chose. Continuer de lire « Alphonse Daudet »