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Mufasa – The Lion King | L’histoire d’un grand roi non prédestiné à régner

Le film est une belle réussite sur le plan graphique, character design est sublime. Quant à la photographie, elle est plus agréable que le film précédant. Le récit s’inscrit dans la philosophie de l’Histoire de la vie / Cercle de la vie montrant Mufasa devenir un lion errant, comme le sera Simba à la mort de son père. Le film rappelle aussi qu’importe notre passé, ce qui compte, c’est la personne que l’on devient. Avec ce préquel, l’univers du Roi créer une boucle, celle d’une répétition sans fin et pourtant régit par une recherche de justice, de bravoure et d’harmonie entre les clans.

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Le beau rôle © Jonas Films

Notre sélection des films de la semaine (18 décembre 2024) – Coups de cœur : Le beau rôle, Un Noël en famille, Mufasa – Le Roi Lion

Une nouvelle semaine dans l’ambiance de Noël avec Un Noël en famille, espoir du mois, Le Beau rôle et Mufasa -Le Roi Lion en coup de cœur. Sont absents ici : Sous écrous, Oh Canada, Jules au pays d’Asha car nous n’avons pu accéder aux projections.

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Une langue universelle © Météore Films

Une langue universelle, Matthew Rankin rêve de cinéma iranien

Une langue universelle de Matthew Rankin est une œuvre cinématographique qui mêle habilement fantasme, autobiographie et vision d’une réalité alternative, puisant dans les peurs, les désirs et les rêveries du réalisateur. Ce film, présenté à la Quinzaine des Cinéastes du Festival de Cannes 2024, offre une expérience cinématographique unique et surréaliste.

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Everybody Loves Touda | © Les Films du Nouveau Monde / Ali n'Productions

Everybody Loves Touda – Le portrait d’une femme moderne dans un Maroc conservateur

Everybody Loves Touda de Nabil Ayouch, présenté au Festival de Cannes 2024, s’efforce de dépeindre une femme libérée et moderne dans un contexte marocain conservateur, mais cette tentative s’avère en grande partie vaine. Le film suit Touda, une chanteuse aspirant à devenir une « Cheikha », artiste traditionnelle marocaine, dans sa quête d’émancipation et de reconnaissance artistique. Malgré les intentions louables du réalisateur, le récit tombe dans les pièges du mélodrame classique, renforçant paradoxalement les stéréotypes qu’il cherche à combattre.

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Sarah Bernhardt, La Divine | © BAC FILMS

Sarah Bernhardt, La Divine | La solitude des sommets

Sandrine Kiberlain se métamorphose en Sarah Bernhardt dans le film de Guillaume Nicloux. Certains seront choqués par le jeu, mais n’est-ce pas ici tout le propos ? Montrer une femme qui est toujours dans l’excès et dans le jeu, quelqu’un qui est tellement dans cette posture qu’elle en vient à ne jamais vraiment dire le fond de ses désirs. Un film montrant une femme entourée, mais cruellement seule. On peut avoir tout, être désiré de toutes et tous, mais ne pas avoir l’essentiel, l’Amour. 

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The Wall © Bodega Films

The Wall, quand Philippe Van Leeuw donne raison à Rousseau !

The Wall est un ensemble de question sur le sens de la vie comme la notion de frontière et l’art de toujours vouloir tout compartimenter.
L’héroïne est dans le contrôle absolu comme pour fuir ses propres problèmes, elle instaure une rigidité absolue dans tout ce qu’elle fait. Elle a une coiffure où rien ne dépasse, elle vit sans cesse dans une forme de pensée absolue que «les règles sont les règles ». Vivre sans cesse ainsi, c’est prendre le risque d’un jour perdre le contrôle, car nul ne peut être sans cesse sur le qui-vive.

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Le beau rôle © Jonas Films

Le Beau rôle – L’envers du décor, le désir de lumière et un casting bien dosé.

Victor Rodenbach propose une comédie sur le quotidien d’un comédien, qui s’appelle Henri et voulant réussir sa vie. Seul ombre au tableau, Nora sa partenaire à la scène et dans la vie, qui ne comprend pas subitement ce désir de faire quelque chose pour lui et sans elle.

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Un Noël en famille – Notre avis sur le film de Noël avec Didier Bourdon

Un film de Noël dans la lignée de Noël joyeux (2023, Clément Michel), ici Jeanne Gottesdiener dans Un Noël en famille interroge sur le sens des traditions et toute la symbolique à une époque où l’on se veut écoresponsable. Peut-on encore fêter noël en faisant exploser le bilan carbone pour des cadeaux venus de Chines enroulés de papier-cadeau a usage unique ? . 

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