Avec Météors, Hubert Charuel et Claude Le Pape signent un film poignant sur l’amitié, la solitude et la dépendance dans la France rurale. Paul Kircher, Idir Azougli et Salif Cissé incarnent une génération désenchantée, prise entre loyauté, survie et la perte du rêve collectif.
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Avec Les Tourmentés, Lucas Belvaux revisite le genre de la chasse à l’homme pour en faire une réflexion profonde sur la résilience et la valeur de la vie. Porté par Niels Schneider, Ramzy Bedia, Linh-Dan Pham et Déborah François, le film explore les tourments d’êtres abîmés par la guerre, l’absence d’amour et les blessures intimes. Un thriller sombre et lumineux, entre brutalité et quête d’humanité.
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Un film rare, intime et bouleversant, où Pauline Loquès capte l’instant suspendu avant un traitement, sublimé par l’interprétation de Théodore Pellerin.
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Un thriller politique féroce et décalé, Fils de de Carlos Abascal Peiró oppose héritage familial et luttes de pouvoir. Entre ambition, satire et quête identitaire, ce premier long métrage électrise le spectateur par son rythme effréné et ses révélations.
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Y’a pas de réseau, comédie estivale d’Édouard Pluvieux avec Gérard Jugnot et Maxime Gasteuil, embarque deux enfants dans une aventure sans Wi-Fi au cœur des Pyrénées. Pièges, humour burlesque et hommage aux années 90 au menu d’un été inoubliable.
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En Provence, les champs de lavande ne cachent pas que des cigales. Parfois, ils gardent le secret d’une fracture intime, d’un regard tourné vers l’inexplicable. Valensole 1965 revient sur l’un des cas d’OVNI les plus troublants de France, en s’ancrant dans le réel pour mieux en dévoiler les failles poétiques. Dominique Filhol ne livre pas un film de science-fiction, mais bien le portrait d’un homme foudroyé par une expérience qu’il ne sait ni nommer, ni partager. Une œuvre à la fois sensible, ancrée et troublante.
Continuer de lire « VALENSOLE 1965 – Le ciel est parfois plus proche qu’on ne le croit »
Avec Différente, Lola Doillon signe une comédie romantique aussi lumineuse que touchante, portée par une héroïne en décalage avec les codes sociaux. Un film qui met enfin des mots sur les maux invisibles et raconte, sans pathos, la complexité d’aimer quand on ne perçoit pas le monde comme les autres.
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Un thriller immersif en caméra subjective, entre dérive adolescente et spirale criminelle, porté par un casting troublant et une mise en scène inspirée.
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Avec Les arènes, Camille Perton signe un thriller sportif haletant où les rêves de gloire côtoient les pièges de la réussite, sur fond de football professionnel et de dérives humaines.
Continuer de lire « Les Arènes – Bienvenue dans les désillusions de la gloire et du sport professionnel »
Dans un monde où les machines prennent de plus en plus de place, Un Monde Merveilleux, réalisé par Giulio Callegari, nous plonge dans une comédie aussi émouvante qu’intrigante. Portée par des performances saisissantes de Blanche Gardin, Laly Mercier et Angélique Flaugère, cette œuvre aborde des thèmes profonds comme l’isolement, la projection de nos blessures humaines et la manière dont nous rejetons l’autre, même lorsqu’il pourrait nous sauver. À travers le personnage d’un robot presque rejeté, car défaillant et obsolète, le film nous invite à réfléchir sur la nature de l’humanité et la manière dont nos propres failles façonnent nos relations avec autrui.
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À deux pas des rames bondées de la gare du Nord, un autre Paris se dévoile. Little Jaffna, premier long-métrage de Lawrence Valin, nous embarque au cœur d’une communauté tamoule trop souvent reléguée à l’ombre. Entre polar nerveux et fresque intimiste, le film scrute l’exil, la mémoire et la survie avec une sincérité brute, loin des clichés et des regards furtifs. Un récit vibrant, tendu comme un fil, où chaque pas résonne du poids des traditions et du murmure d’une ville qui regarde sans voir.
Continuer de lire « Little Jaffna : un polar ancré dans la communauté tamoule, cachée sous les silences et les luttes d’un exil oublié »
Le cinéma a parfois cette grâce rare de prendre un fait divers, de le polir avec soin, et d’en révéler tout l’éclat humain, avec ses failles et ses vertiges. Les Règles de l’Art de Dominique Baumard s’inscrit dans cette lignée précieuse. S’inspirant d’un cambriolage réel – aussi improbable que romanesque – survenu au Musée d’Art Moderne de Paris, le réalisateur signe ici une œuvre qui manie l’art du récit comme on sculpte une matière vivante : avec respect, malice et une justesse chirurgicale.
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Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan est un film français réalisé par Ken Scott, adapté du roman autobiographique de Roland Perez. Cette comédie dramatique, dont la sortie est prévue le 19 mars 2025, raconte l’histoire vraie et bouleversante d’Esther, une mère juive séfarade, et de son fils Roland, né avec un pied bot en 1963. Le projet, co-produit par Amazon Prime Video, Gaumont et Egerie Productions, marque la première production française d’Amazon destinée aux salles de cinéma. Avec Leïla Bekhti et Jonathan Cohen dans les rôles principaux, le film promet d’être un hommage touchant à l’amour maternel et à la résilience.
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La Cache, le nouveau film de Lionel Baier est une œuvre singulière. Adapté du roman éponyme de Christophe Boltanski, lauréat du Prix Femina en 2015, ce long-métrage nous plonge dans une fresque familiale haute en couleur, sur fond de Mai 68. Ce film possède un écho particulier, car il s’agit du dernier dans lequel Michel Blanc a tourné.
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Au pays de nos frères, le premier long-métrage des réalisateurs iraniens Raha Amirfazli et Alireza Ghasemi, offre un regard poignant sur la vie des réfugiés afghans en Iran. Le titre évoque ironiquement la fraternité supposée entre Iraniens et Afghans, contrastant avec la réalité difficile vécue par ces derniers.
Continuer de lire « Au pays de nos frères – une plongée intime et bouleversante dans le parcours des exilés afghans »
Judith Davis nous offre avec Bonjour l’asile une comédie engagée qui frappe juste, mêlant habilement humour mordant et réflexion sociale profonde. Le film, qui sortira en salles le 19 février 2025, plonge le spectateur au cœur d’un ancien hôpital psychiatrique reconverti en tiers-lieu rural, devenu le théâtre d’une lutte entre utopie collective et réalité capitaliste.
Continuer de lire « BONJOUR L’ASILE : une critique délirante et réaliste de la société »
Anne Le Ny arrive à nous plonger dans l’enfer des mensonges et de la peur de l’abandon. En décortiquant les souffrances qu’aimer peut apporter lorsque l’on se sent trompé ou à la découverte du manque de confiance de son partenaire.
Continuer de lire « Dis-moi juste que tu m’aimes – Un bon casting, une ambiance qui fonctionne, mais un scénario trop déjà-vu »
Carine Tardieu arrive à nous faire rire des détails de la vie, pleurer des drames de la vie et rire encore en suivant l’aventure d’une famille pas comme les autres. Avec les mêmes envies et mêmes désirs, ceux du bonheur.
Continuer de lire « L’attachement, Carine Tardieu nous bouleverse avec une comédie dramatique contemporaine »
Un monde violent de Maxime Caperan est une œuvre qui suscite la réflexion et divise l’opinion. Ce premier long-métrage oscille entre perfection et étrangeté, offrant une critique acerbe de notre société contemporaine. À travers l’histoire de deux frères plongés dans une spirale criminelle, le film explore les thèmes de la rébellion contre un système oppressant, de l’aspiration à la liberté et de la quête d’humanité. Malgré une photographie inégale, l’œuvre parvient à traduire avec justesse la rudesse de l’existence et les paradoxes de la condition humaine.
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Une perle du cinéma de genre, Elise Otzenberger dirige à merveille Cécile de France dans ce drame psycho-fantastique. Un récit prenant et une photographie soignée accompagnent cette plongée dans le quotidien d’une mère prête à tout pour son enfant.
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Le Quatrième Mur, réalisé par David Oelhoffen, est une adaptation cinématographique du roman éponyme de Sorj Chalandon. Le film se déroule au Liban en 1982, en pleine guerre civile. Il suit Georges, un Français qui se rend à Beyrouth pour honorer la promesse faite à un ami mourant : mettre en scène la pièce Antigone avec des acteurs issus des différents camps du conflit. Cette œuvre explore les thèmes de l’art face à la guerre, de l’utopie confrontée à la réalité brutale, et de la quête de paix dans un contexte de violence extrême.
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