Dans l’épisode du 6 janvier 2025, rien ne va plus ! Joachim traverse une période de profonde culpabilité après l’accident vasculaire cérébral (AVC) de sa sœur Marta. Malgré les efforts de sa femme Clotilde pour le rassurer, Joachim se sent responsable, convaincu qu’il aurait pu faire quelque chose pour éviter cette tragédie. Clotilde lui rappelle que même si Marta avait été prise en charge rapidement, cela n’aurait peut-être pas changé l’issue de son état. Ce sentiment d’échec dans son rôle de grand frère protecteur le ronge et l’empêche d’assister à la cérémonie organisée par l’Institut en mémoire de Marta, exacerbant ainsi son isolement.

Une perte surprenante à l’Institut

La dynamique familiale est complexe. Joachim reproche à Clotilde de le forcer à s’adapter à son emploi du temps, ce qui le conduit à passer moins de temps avec sa propre famille. Cette situation crée une tension entre eux, car il lui en veut de ne pas comprendre la profondeur de sa douleur et son besoin d’être présent pour sa sœur. Clotilde, à son tour, ressent une culpabilité immense. Elle se blâme pour la solitude de Marta dans ses derniers moments, pensant qu’elle aurait dû faire plus pour que leur sœur ne soit pas laissée seule lors de son AVC. (lire notre article sur Marta)

Dans ce contexte, Medhi souhaite que malgré tout Anaïs participe à la cérémonie. Il pense que leur relation avec Marta mérite d’être honorée, même si leur passé est teinté de tensions. Medhi est convaincu que leur relation n’était pas uniquement alimentée par ces passifs. Elles étaient colocataires durant leur première année à l’institut. Cependant, Anaïs hésite, consciente des complications émotionnelles qui l’entourent.

Parmi les élèves présents lors des funérailles, Tom Azem et Charlène Teyssier sont les seuls à avoir fait le déplacement. Tom se sent redevable envers Marta pour son soutien durant une période difficile où il a été harcelé. Lionel, quant à lui, regrette de ne pas avoir assisté à la cérémonie, pensant que cela aurait été une occasion pour lui de faire ses adieux. Ce regret souligne l’importance des rituels dans le processus de deuil. Chacun vit un deuil différemment et pouvoir mettre toutes les chances pour le réaliser est essentiel !

Hortense propose d’organiser une nouvelle cérémonie à l’Institut pour ceux qui n’ont pas pu être présents. Elle se demande si Teyssier approuvera cette initiative et décide de prendre les choses en main.

Durant la cérémonie, les élèves partagent leurs souvenirs de Marta. Enzo évoque une rencontre marquante lors d’un concours où Marta lui avait donné la moitié de ses fraises en plaisantant sur sa volonté de gagner « à la loyale ».

Emmanuel Teyssier prend la parole lors de cette célébration et déclare : « On a des mots pour dire les peines légères, mais les grandes douleurs ne savent que se taire ». Ces mots résonnent profondément parmi les élèves et rappellent la difficulté d’exprimer des sentiments intenses face à la perte.

Le premier rdv de Zoé et Solal, un fantôme à l’Institut ?

Dans un tout autre registre, Zoé et Solal semblent évoluer dans leur bulle amoureuse malgré le contexte tragique. Ils préparent leur premier rendez-vous ensemble, illustrant comment la vie continue malgré la douleur ambiante.

Gaspard utilise même cette tragédie pour alimenter des rumeurs sur un possible retour spectral de Marta hantant l’Institut, ajoutant une touche d’ironie à l’atmosphère pesante. Il l’accuse même d’être à l’origine des disparitions dans l’internat. Et cela insupporte tout le monde. Le jeune homme dit qu’il y croit et qu’il est très sérieux !

Enfin, Constance est troublée par la mort de Marta et engage une discussion intense avec Joachim. Ce moment révèle non seulement leur douleur respective, mais aussi leurs luttes personnelles face à cette perte tragique et inattendue.

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