Dans Ici tout commence, la rivalité Armand Teyssier dépasse le simple conflit familial. Héritage partagé, secrets enfouis et histoires d’amour tissent une saga générationnelle où les deux clans restent liés, envers et contre tout.

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Dans Ici tout commence, il y a des rivalités qui deviennent légendaires, et des destins qui finissent inévitablement par se croiser. Depuis la première saison, les noms Armand et Teyssier sont devenus indissociables de l’histoire de l’Institut. Entre luttes de pouvoir, secrets de famille et alliances inattendues, la série de TF1 tisse une véritable saga générationnelle où tout ramène à un même constat : les Armand et les Teyssier, qu’ils le veuillent ou non, sont liés pour toujours.

Axel, la clé entre les deux clans

Tout a basculé avec la révélation autour d’Axel Teyssier. Présenté d’abord comme le neveu d’Emmanuel, le personnage incarne rapidement bien plus qu’un simple élève brillant : il est en réalité le fils caché d’Auguste Armand et de la meilleure amie de Teyssier. Autrement dit, un Armand élevé comme un Teyssier.

Ce secret de famille, découvert après une série de tensions et de trahisons, vient bouleverser la hiérarchie familiale et redistribuer les cartes à l’Institut. D’autant qu’Axel avait été adopté discrètement par le frère d’Emmanuel, dans des circonstances pour le moins discutables. Dès lors, il devient le lien vivant entre les deux lignées : à la fois héritier de la rigueur Armand et du tempérament explosif des Teyssier.

Quand l’Institut se partage pour éviter la guerre

Au moment où Axel est officiellement reconnu comme l’un des héritiers d’Auguste Armand, une question brûlante émerge : comment répartir l’héritage de l’Institut sans rallumer les vieilles rancunes ?

Pour tenter d’apaiser les tensions, un nouveau partage des parts est imaginé. Clotilde, Rose et Axel deviennent copropriétaires, scellant une réconciliation fragile. Mais c’est Louis, le plus imprévisible des Armand, qui crée la surprise en réclamant que Teyssier reçoive lui aussi une part symbolique. Un geste fort, rarement évoqué en détail dans la série, mais porteur d’une idée claire : seule une union partagée entre les héritiers peut préserver l’esprit de l’Institut.

Derrière les parts, c’est surtout une nouvelle génération — Axel, Théo, Charlène, et Carla — qui s’impose comme garante d’un avenir commun. Eux n’ont pas choisi les rivalités de leurs parents : ils voudraient bâtir quelque chose de plus apaisé, entre respect et modernité. Il devaient tous participer activement à la vie administrative, voter, mais cela est rapidement mis sous ellipse. On ne voit jamais Charlène, Théo ou encore moins Axel pourtant un héritier à part entière, venir participer à la vie de l’instititut.

Carla et Bérénice, l’amour comme trait d’union

Et puis, plus récemment, Ici tout commence a offert un joli clin d’œil au destin : celui de Carla, la fille de Rose Armand, et de Bérénice Leblond, la demi-sœur de Constance. Leur relation apporte une nouvelle dimension au lien entre les deux familles.

Cette fois, ce n’est plus le sang mais l’amour qui unit les Armand et les Teyssier. En s’aimant, Carla et Bérénice réécrivent à leur manière l’histoire des deux clans, en dépassant les blessures du passé. Là où Axel représentait le rapprochement biologique, leur couple incarne le pont affectif entre deux maisons longtemps ennemies.

Une saga familiale qui se réinvente

Des Armand fondateurs aux Teyssier rebelles, Ici tout commence poursuit son exploration des liens familiaux sous haute tension. Et si les gouffres entre eux semblent parfois infranchissables, chaque génération trouve finalement un moyen de raviver le lien — qu’il passe par un héritage, un apprentissage… ou une histoire d’amour.

À l’Institut, les rivalités passent, mais le nom Armand-Teyssier, lui, semble destiné à durer autant que la série.

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