Plongez dans la Belle Époque avec « Montmartre », mini-série événement de TF1. Entre sensualité, drame social et secrets de famille, Céleste, Arsène et Rose unissent leurs destins à Paris en 1899. Portée par Alice Dufour et Victor Meutelet, la série a séduit 4,5 millions de téléspectateurs, disponible sur TF1+.

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Avec Montmartre, TF1 signe l’un de ses plus beaux succès de rentrée. Diffusée à partir du 29 septembre, cette mini-série en huit épisodes créée par Brigitte Bémol et Julien Simonet, réalisée par Louis Choquette, plonge le spectateur dans le Paris de 1899. Trois destins s’y croisent : Céleste, danseuse de Cancan dans un cabaret de Montmartre, tente désespérément de retrouver le frère et la sœur dont elle a été séparée brutalement enfant quand leur père a été assassiné sous leurs yeux ; Arsène, jeune ingénieur automobile issu des beaux quartiers, promis à un mariage de convenance alors qu’il aime secrètement les hommes, confronté à un secret intime ; et Rose, blanchisseuse enfermée dans une maison close avant de s’enfuir, poursuivie par ses souteneurs, jusqu’à se jeter dans la Marne avant de se reconstruire. Portée par Alice Dufour, Victor Meutelet et Claire Romain, la série mêle sensualité, drame social et quête identitaire, dans une reconstitution somptueuse de la Belle Époque. Avec ses 4,5 millions de téléspectateurs hebdomadaires et plus d’un million de visionnages différés, Montmartre s’impose comme une fresque audacieuse, populaire et profondément humaine. Aucun d’eux ne sait encore que tout ne fait que commencer, et que leur destin reste à écrire, ensemble, sous le ciel de Montmartre.

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Une fresque romanesque qui réveille la Belle Époque

Plonger dans Montmartre, c’est redécouvrir la force du romanesque à la française, où les destins croisés de trois âmes perdues s’entremêlent au cœur d’un Paris bouillonnant. Céleste, interprétée par Alice Dufour, incarne la figure de la femme libre avant l’heure. Danseuse de cabaret contrainte de se dénuder pour survivre, elle devient malgré elle un symbole d’émancipation et d’audace. Louis Choquette met en scène cette trajectoire avec un regard délicat, mêlant sensualité et drame sans jamais céder à la vulgarité. Victor Meutelet, en jeune ingénieur en quête de vérité et d’identité, offre un jeu d’une grande sensibilité, rendant son personnage d’Arsène profondément touchant. Claire Romain, bouleversante en Rose, incarne la pureté blessée, la survivante d’un monde qui broie les innocents.
La reconstitution minutieuse de la Belle Époque, la lumière travaillée et la musique enveloppante signée d’un compositeur inspiré redonnent à la série l’éclat des grandes sagas télévisées. On pense à Le Bazar de la Charité, mais ici la narration se concentre davantage sur la psychologie et la destinée. Chaque épisode trouve le juste équilibre entre intrigue, émotion et tension, permettant au spectateur de s’attacher à ces personnages unis par le sang et séparés par le destin.

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Un succès public et critique mérité

Le succès de Montmartre ne doit rien au hasard. En réunissant 4,5 millions de téléspectateurs en moyenne à chaque diffusion, TF1 prouve qu’une fiction patrimoniale, servie par un récit solide et une esthétique maîtrisée, peut encore fédérer. La série s’impose chaque semaine comme large leader des audiences, dépassant la concurrence sur toutes les cibles. Le chiffre impressionnant d’un million de visionnages en différé confirme que le public ne s’est pas contenté de la diffusion linéaire, mais a prolongé l’expérience sur TF1+. Les résultats sur les cibles commerciales sont remarquables : 26 % de part d’audience sur les femmes responsables des achats, 23 % sur les 25-49 ans et 26 % sur les 15-24 ans.
Ces chiffres témoignent d’un engouement intergénérationnel rare pour une série d’époque. Le soin apporté à l’écriture et à la direction d’acteurs a su réconcilier les amateurs de fictions historiques et les spectateurs plus jeunes, sensibles à la modernité du propos. Montmartre parle d’émancipation, de désir et de quête identitaire, mais sans perdre de vue la sincérité du sentiment. C’est là que réside la force du duo Brigitte Bémol et Julien Simonet : écrire un drame ancré dans son époque, tout en résonance avec la nôtre. Le travail d’Aline Panel et d’Estelle Boutière à la production d’Authentic Prod parachève ce succès, confirmant le savoir-faire français en matière de grandes fresques populaires.

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4,5 millions de fidèles !

Avec ses 4,5 millions de fidèles, Montmartre s’impose comme une réussite totale pour TF1. La série a trouvé son public, séduisant à la fois les amateurs de drames historiques et les jeunes téléspectateurs. Elle a su conjuguer émotion, esthétique et audace dans un récit dense et poignant. Le trio formé par Alice Dufour, Victor Meutelet et Claire Romain restera l’un des atouts majeurs de cette production qui a redonné au petit écran le souffle romanesque des grandes œuvres d’antan. Une série marquante, élégante et populaire, désormais disponible en streaming sur TF1+.

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Une mini-série de 8 × 52 minutes
Créée par Brigitte Bémol et Julien Simonet
Réalisée par Louis Choquette

Avec
Alice Dufour, Victor Meutelet, Claire Romain, Hugo Becker, Mathilde Seigner, Pablo Pauly, Thibault de Montalembert, Cristiana Reali, Mikaël Mittelstadt, Benjamin Baroche, Clément Moreau, Axel Mandron, Roxane Turmel, Nicolas Martinez, François Vincentelli et Valérie Karsenti

Production
Une production Authentic Prod (Banijay)
Produite par Aline Panel et Estelle Boutière
En coproduction avec TF1