AMBRIEL, révélée au grand public dans The Voice avant d’enflammer la scène de Starmania pendant deux saisons, franchit une nouvelle étape. Avec la sortie de son titre « T’as tout de moi », elle livre une œuvre à fleur de peau, à la fois confession intime et déclaration artistique. Une voix rare, des mots gravés comme des cicatrices, et un clip aussi esthétique que bouleversant… L’artiste ne joue plus : elle se dévoile.

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Icône en devenir, elle mêle poésie crue et fragilité assumée dans un clip marquant. Une performance vocale hors du commun pour une chanson qui met à nu l’âme et le corps. Après Starmania et la Bo de La Reine du Drame, elle revient dans un single fort.
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Dans T’as tout de moi, Ambriel écrit ses vérités sur sa peau. Chaque tatouage devient un mot non-dit, une émotion assumée. Elle parle d’amour, de vide, de souvenirs et de silences – non pas comme des creux, mais comme des espaces pleins d’histoires. Une femme qui décide d’exister entière, dans ses failles comme dans ses forces. C’est un manifeste intime où l’encre remplace les larmes, et où chaque mot dessiné est une conquête.

Découvrez le clip – T’as tout de moi d’Ambriel

Sous la caméra d’Adrien ROURER, AMBRIEL se dépouille de ses masques et retire toutes ses protections.
Le clip, produit par Baignoire and the Night et soutenu par les labels Panache Records, InTenSe et YouKanRise, révèle une direction artistique soignée, servie par Justine Piette au stylisme et Camille Lemarchand au maquillage. Un projet porté avec finesse par François Welgryn, William Rousseau, Eric Rapp et Marc Postel-Vinay.

Un single entre vérité nue et confession, une révélation à cœur ouvert.

Dans ce titre envoûtant, Ambriel tatoue ses silences comme d’autres marquent leur peau. Jeu de mots sensible entre « t’as tout de moi » et « tattoo de moi », la chanson creuse le sillon d’un corps devenu parchemin, gravé d’amours passées, de fautes douces, de joies infimes. Sur cette peau, chaque mot, chaque symbole devient une cicatrice esthétique – une mémoire vive, offerte à nu.

La mélodie, à la fois caressante et déchirée, accompagne une écriture taillée au scalpel : Ambriel ne chante pas, elle dévoile. Elle trace les contours d’une femme en clair-obscur, à la fois faille et montagne. L’enfant blessée n’a pas disparu : elle dort sous les courbes affirmées de la femme fatale. L’une pleure, l’autre séduit – et entre les deux, le silence parle.

« Tattoo de moi », c’est aussi cette mise à nu sans voyeurisme. Une confession murmurée à l’oreille de celui qui saura lire entre les lignes, entre les lignes du corps, les lignes de vie. La chanteuse n’explique pas, elle imprime. Elle ne crie pas, elle scarifie – à l’encre noire ou rouge passion.

Cette chanson ne cherche pas à faire le spectacle de la douleur. Elle en fait un paysage. Une carte intime que seule la confiance peut explorer. Et dans ce murmure, dans ces silences qui battent comme un cœur, c’est une femme entière qui se livre. À qui veut bien l’écouter. À qui mérite de lire ce tattoo de mots.

Chez Ambriel, la peau n’est pas qu’un écran de projection, elle est l’historique charnel d’une histoire. Chaque tatouage, chaque ligne, chaque mot inscrit devient la trace visible d’un chapitre vécu : des secrets tus, des erreurs apprises, des élans de joie assumés. Rien n’est laissé au hasard, pas même les blessures. Elle les grave elle-même, comme on choisit une cicatrice qu’on veut garder. En cela, T’as tout de moi n’est pas un aveu douloureux, mais un acte de souveraineté : une mise à nu où l’on ne quémande rien, mais où l’on espère tout. Car ces silences-là ne blessent pas, ils espèrent. Ils attendent qu’on les lise, qu’on les embrasse, qu’on les comprenne. À ceux qui sauront voir au-delà de l’encre, Ambriel offre son corps comme un poème à décrypter. Un cri doux, intime, tendu vers la lumière.

AMBRIEL – “T’as tout de moi” : entre silences tatoués et vérité nue