Petite découverte étrange, au démarrage lent, mais dont l’univers rappelle le groupe de Michael Pitt,Pagoda. Des mélancolies étranges et à mi-chemin entre l’évidence et la complexité : du faussement brut et faussement dirty.

Les paroles de la chanson s’inscrivent dans une atmosphère d’ambiguïté, soulignant la complexité des relations humaines et des situations de la vie. L’utilisation répétée de l’expression « some people sometimes » suggère une généralité dans les expériences partagées, mais en même temps, elle maintient une certaine indétermination quant à qui sont ces « some people » et dans quelles circonstances ces moments surviennent.

Tout en jouant sur l’ambiguïté des choses et des situations, les paroles soulignent une méfiance envers les apparences et les mensonges superficiels qui peuvent décevoir. Les néons est une lumière artificielle, qui nous fait croire que nous sommes en plein jour. On y croit, on accepte d’y croire. Le reste de la chanson explore l’ambiguïté inhérente à la nature humaine, à travers des moments de perspicacité et de vulnérabilité face aux incertitudes de la vie.

De même, la chanson exprime la nécessité de rester fidèle à soi-même pour trouver la paix avec les autres, malgré les obstacles. On parle de persévérance face aux défis et une singularité dans la façon dont les défis sont affrontés.