Dans son film, le réalisateur Ángel Gomez propose un film de genre intéressant mêlant peur, angoisse, croyances ancestrales.

Le Malin, tel un virtuose de la séduction, prend un malin plaisir à revêtir les traits familiers de nos proches les plus chers. Dans l’ombre, il tisse des illusions, créant des mirages affectifs qui ensorcellent nos sens. Attirant notre confiance, il se glisse insidieusement dans nos vies sous des dehors bienveillants. L’être aimé, incarné par ce manipulateur habile, devient le véhicule perfide d’une tentation déguisée.
Cependant, il est crucial de demeurer vigilant, de scruter au-delà des apparences. Car derrière ces visages familiers se cache souvent un prix à payer. Les promesses d’amour et de bonheur dissimulent les filets subtils d’une toile perfide. L’illusion de la félicité se révèle être un leurre, une façade masquant les desseins ténébreux du Malin.
Lorsque l’on se laisse captiver par cette séduction diabolique, la réalité se déforme, et les rêves se muent en cauchemars. Il faut alors déchirer le voile trompeur qui enveloppe cette figure familière, prendre garde aux éclats qui révèlent la véritable nature de cet imposteur. Car le Malin, en se jouant de nos émotions les plus profondes, cherche à corrompre nos âmes et à semer le chaos dans nos existences.
Cette mystification déguisée en cadeau, il nous incombe d’être prudents, de ne pas succomber aux charmes empoisonnés du Malin. La véritable affection se mesure à la lumière de la sincérité, et la vigilance demeure notre bouclier contre les séductions malfaisantes. Car derrière chaque sourire angélique peut se dissimuler l’ombre malicieuse du Malin, prêt à révéler sa vraie nature et à faire payer le prix de son jeu pervers.

Le Folklore dans tout ça !
On a beaucoup aimé l’explication des animaux morts que l’on pendait devant les bâtisses comme un avertissement à changer de route.
La pratique de pendre des animaux morts devant les bâtisses, observée dans diverses cultures, trouve son origine dans des croyances populaires et des rituels folkloriques. Elle est souvent interprétée comme un avertissement symbolique, indiquant aux passants ou visiteurs potentiels que la continuation sur cette voie pourrait attirer des malheurs, des malédictions ou des conséquences néfastes.
Cela peut également être lié à une protection contre les forces du mal, les animaux morts servant d’amulettes pour éloigner les esprits maléfiques. Parfois, cette pratique est associée à des rituels de purification, éliminant ainsi les énergies négatives. Les animaux choisis peuvent avoir un symbolisme culturel particulier, et la suspension visible peut aussi agir comme une dissuasion contre le vol ou l’intrusion, soulignant les conséquences potentielles des comportements indésirables. Cette coutume reflète une connexion profonde entre les croyances populaires, les rituels symboliques et la protection de l’environnement humain contre les influences néfastes.
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Une réflexion sur “N’écoute pas d’Ángel Gomez”