Madeline Rosene nous offre un titre particulier : à la fois doux, sucré et avec un titre tape à l’œil. Elle a grandi entre New York et Cleveland avec des parents divorcés.

Elle a peu à peu forgé son caractère en étant en dehors du système scolaire classique : école à la maison et pensionnat. Elle avait d’ailleurs elle-même choisi le pensionnat pour ne pas imposer un choix et ne pas choisir entre ses deux parents.

L’écriture va devenir peu à peu un moyen pour elle d’utiliser les mots, les codes et surtout de s’exprimer. Elle qui a été une contradiction vivante, elle qui a grandi en étant dyslexique. Malgré cela comme beaucoup d’artistes, elle va faire de son handicap une force. « J‘ai toujours aimé les mots. Il m’a fallu beaucoup de temps pour apprendre à lire et à épeler parce que je suis dyslexique », a-t-elle déclaré. « Je ne lutte plus avec ça, mais c’était un gros défi quand j’étais enfant. J’ai dû passer tellement de temps à essayer de comprendre les mots et la phonétique que je suppose que j’ai dû apprendre à les aimer. »

Elle va débuter la guitare, se mettre au rock et voila… Quelques années plus tard elle revient en solo avec des titres Pop. Peut-être que le choix de ce genre s’explique par sa contradiction, sa manière de sans cesse surprendre les gens, par ce qu’elle est et ce qu’elle fait.

Un petit coup de cœur sucré pour ce début de week-end !

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