Un titre qui vaut vraiment le temps d’attendre. Les premières mélodies ne sont pas forcément les plus exceptionnelles que le rock ait porté, mais après les premières mesures jusqu’au refrain, on commence peu à peu à cerner le projet : un titre mature, des riffs incroyablement carré et un refrain qui surprendra.

Ok, le refrain est très banal à la première écoute, mais si on fait l’effort d’être attentif, on réalise que la production possède des éléments subtils et détaillés.

Le petit passage calme rappelle les débuts du titre, un peu comme un espoir de boucle dans la vie, dans le quotidien. On aime le calme et pourtant on ne vit que lorsqu’il y a des évènements qui vient troubler ce calme.

C’est le paradoxe de l’existence ! Comme Passenger l’expliquait dans son tube, on n’apprécie une chose que lorsqu’elle disparait.

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