Andrew Rinehart nous emporte dans son nouveau titre folk Sight Unseen.

Quand on demande à Andrew comment est né ce dernier titre, il répond sans tabou en éclairant l’origine et en révélant ses peurs et ses rêves noirs qui hantent ses nuits.

«J’ai écrit cette chanson fin 2018 et l’ai enregistrée avec l’aide de mon ami Ben Schwab du groupe Drugdealer. C’est une sorte de flux de conscience. Les paroles ont été choisies dans tous les souvenirs fragmentés que j’ai eu au cours des derniers mois de 2019: des flashbacks d’un vol extrêmement turbulent. Des souvenirs d’une promenade brumeuse toute seule, des morceaux de mon dernier enchevêtrement romantique, une poignée de souvenirs d’enfance (mon frère et moi nous disputons la boîte à biscuits familiale) et une légère variation d’une histoire effrayante qu’un ami m’a récemment racontée – à propos de comment elle a découvert son père mort dans son arrière-cour quand j’étais enfant. Je travaille sur un clip, en utilisant des morceaux du film de Godard « Pierrot Le Fou » – une jolie mort sur le film et  la dissolution d’une relation.»

Son premier album solo Memories Are Hunting Horns, sorti en 2010 sous le pseudonyme de «Saredren Wells», présentait une direction nouvelle et très différente, le situant aux côtés d’artistes folk décalés comme Bill Callahan, Daniel Johnston et Bonnie «Prince» Il a fait une brève tournée après la sortie, partageant la scène avec les autres artistes comme  Steve Gunn et le célèbre artiste folk queer Ed Askew.

Déménageant à New York en 2011, Rinehart a co-fondé à la fois The Body Actualized Center, un espace artistique DIY de Brooklyn.

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