Elle s’appelle Alena Shirmanova-Kostebelova, mais sur scène c’est Aiko. Née à Moscou, elle a grandi en République tchèque et lance un appel à  la capitale anglaise. Sa musique s’inspire de toutes ses pratiques,  multi-instrumentiste Aiko est un amalgame sans effort de culture et d’influence; un melting-pot de l’esthétique travaillant à l’unisson pour créer les paysages sonores chatoyants et des compositions chargées d’émotions sur lesquelles Aiko a bâti son nom.

Après avoir peaufiné son univers hétéroclite, elle décide de conquérir l’Europe occidentale et continentale à travers le Royaume-Uni, lui donnant la chance de se produire dans des festivals tels que Sziget,Waves Vienna, Praha Žije Hudbou et Good fest. Quand on lui demande ses influences actuelles, elle sourit et donne une liste qui va de Black Miel à Tamino, en passant par Lauren Ruth.

Musicalement nous avons beaucoup aimé, cela nous a rappelé un peu  Bjork, Amanda Palmer et Florence Welch. Son nouveau single Bad Influence sonne porte très bien son titre de single, car il est puissant et le mélange de pop et alternatif pop font que le titre reste à la fois mainstream et hors des sentiers battus.

Son univers en deux mots :

• Ce son si particulier vient du mélange de l’organique et l’électronique. Un mélange qui permet d’avoir une vrai vibration, une vraie puissance et non quelque chose de purement artificiel. Sans oublier cette voix, cette voix qui est toujours en équilibre entre le haut et le très haut.
• L’univers visuel, les deux derniers clips sont très recherchés, comme cette mise en abyme, nous sommes proche d’une conception d’icônes comme dans la tradition orthodoxe.