Née à Rochester, New-York, Robin McKelle nous rappelle Tina Turner, Aretha Franklin ou Janis Joplin avec son timbre d’alto et par ses qualités innées de « performer. » Nous la connaissions experte de la Soul, du Blues, du Rhythm’n Blues, du Jazz, de toutes ces musiques de l’âme et de l’émotion. Il y avait fort à parier que la belle américaine d’origine irlandaise nous conduirait plus profondément sur ces mêmes courants ; c’est finalement avec une légèreté trompeuse qu’elle nous entraine vers une Pop Soul raffinée.
Ce tout dernier clip Not Ordinary Love reprend toute l’icônerie populaire des divas du Jazz ou de la soul. Une image qui s’est conjointement développer avec l’émergence du film noir et de l’archétype de la femme fatale, bien qu’ici la femme fatale est surtout réduit au rang de femme blessée. Une chose est certaine quand on analyse l’ensemble des oeuvres, l’ensembles des musiques et des poèmes des 3 derniers siècles, les histoires d’amour finissent mal en générale.
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